La magie de l’IA ne s’arrête pas à l’écriture. Dans le domaine des effets visuels, elle permet de recréer numériquement des décors disparus ou de rajeunir un acteur sans passer par des heures de maquillage. Des scènes qui auraient coûté des millions à tourner il y a dix ans peuvent aujourd’hui être produites avec un budget réduit, ouvrant la porte à de plus petits studios indépendants.
Un autre aspect fascinant est la reconstitution vocale et faciale. L’IA peut imiter la voix d’un acteur disparu ou reproduire ses expressions à partir d’archives. Cette capacité soulève autant de possibilités artistiques que de questions éthiques : jusqu’où peut-on aller sans trahir l’authenticité de l’art ?
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